The g. World

Cela faisait très longtemps que je ne m'étais pas rendu chez mes grands parents... Pour ainsi dire 3 mois je crois. Donc, en ce week end de pause pédagogique, où, je n'ai pas à rentrer tôt pour retrouver Tours, nous en avons profiter pour rendre visite à mes grands parents. Mon grand père et ma grand mère habitent une petite maison, dans une petite propriétée dans le berry, pas très loin de Valencay, c'est là, que j'ai passé la majeure partie de mes vacances d'été lorsque j'étais enfant. C'est donc pour moi un lieu chargé de souvenirs, un lieu chargé d'histoire, de mon histoire, et de celle de ma famille. Je ne connais que mes grands parents maternels, les parents de mon père étant décédés bien avant ma naissance. J'ai donc reporter tous mon amour vers mes autres grands parents. Bref, donc hier retour aux sources. Après une heure de route, nous voilà arrivés, dans cette petite campagne, à l'écart du village, dans un petit hameau tranquil. Une fois les bagages posés, je me précipite pour admirer la vue que j'aime tant, et c'est là que j'eu mon premier choc, le paysage a totalement changé, des arbres ont disparus, la haie que j'avais toujours connue, et qui cachait les anciennes toilettes du temps ou nous n'avions pas les commodités, à fais place à un enchevètrement de bois à nu, les acaccias ont perdus la tête d'un coup bien placé de tronçonneuse et se retrouve réduit à de vulgaire batons plantés droit vers le ciel... Le panorama a tellement changé... Mais bon, c'est la vie tout est voué au changement, c'est la logique du monde, on y peut rien ... La fin d'après midi et la soirée se passent bien, elle ressemble au soirée de mon enfance si ce n'est que tout le monde autour de la table a vieilli... Je crois que le pire, c'est le lendemain, j'ai compris que la campagne était vraiment triste et grise l'hiver. La pluie n'a pas cessée de tomber, pas une grosse pluie d'été, mais une petite pluie hivernale, qui forme une petite brume, et qui bouche tout le paysage. Pas un rayon de soleil, pas un brin de lumière qui traverse l'épai couvercle de nuage. Et dieu que c'est triste la campagne quand il pleut... pas un chat dehors, pas un mouvement, la palette de couleur oscille entre le gris clair, et le gris foncé, de même pour le marron... et c'est tout... Mais il faut accorder une chose à ce temps pourri et à se paysage désespérant, il m'as permis d'avoir aps mal d'idée pour les prochains podcasts, et pour un histoire que je suis en train d'écrire... Enfin voilà, en deux jours, tous les souvenirs que j'avais de cette jolie maison sur sa petite colline, des environs, de la multitude de couleur ont disparus pour laissé place à un environnement maussade... Mais tout devrait retourné dans l'ordre quand il fera de nouveau beau, que les arbres auront retrouvés leurs feuilles, que la haie sera de nouveau verte, et que le soleil baignera la pelouse pleine de paquerettes...